Category: Poèmes

Comme une lumière assez forte pour pas faire d’ombresComme une main qui fond et balaie tous les encombresComme un cœur qui brille et qui rend tes coins moins sombresMon homme, chante-moi Pour une vie qui s’étend, qui te rejoins puis

Ce n’est pas le son d’une prose ou de rimes On entend plutôt ton être qui s’abîme Ce n’est pas le soleil à ton horizon Mais enfin la vraie image de tout ce temps J’attendais sans cesse de te retrouver

Ça pue l’alcool On remplit le verre avec l’alcool Dans le verre déjà il y a beaucoup d’alcool Il faut pourtant plus d’alcool Le vieux monsieur avait pourtant pas mal d’alcool De l’alcool dans le sang De l’alcool dans le

C’est une impression nouvelle D’être à nouveau en vie Quand tu seras avec elle Tout sera étonnant et ralenti Belle comme une sculpture Ornée d’ambitions Elle saura te soutenir Mais voudra te voir vrai Elle est délicate et à la

Je ne veux plus d’après, ne plus faire du mal, ne plus avoir mal, plus rien de joueur et encore moins de malsain… Je n’ai plus l’envie ou même la tentation de jouer. Ça ne m’intéresse plus. Ça me fatigue

Qu’est-ce que la distance qu’on on ne sait plus voyager ?Qu’est-ce qu’un pas quand on ne sait plus poser pied ? A la distance que tu me demandes de franchirSe révèlera une frontière qui sera à bâtir Pourtant les frontières

C’était un désir et l’homme a des envies tragiques. Comme décidé auparavant et définitivement tracé Le désir était mauvais et le doute maléfique Comme un acier damassé neuf et tranchant Comme un serpent au corps dansant C’était à assouvir mais

Il faut que je te démontre que je t’aime Il faut que tu répondes compréhensif à mes paroles Il faut que je t’autorise un temps sans aucun thème Et il faudra que tu me montres que tu ne tiens pas

Ce n’est pas la ville qui s’anime mais l’amour qui déteint Ce n’est pas un soir ordinaire qui démarre, c’est une relation qui s’éteint Un bateau amarré et une vie effacée Un voyage délaissé, l’infinité en arrêt C’était une partie